Comment faire une levée de fond pour une startup ? (témoignage de la galère)
Aujourd’hui, je vais vous raconter l’épopée de ma startup, du fiasco du crowdfunding au succès cool de l’auto-financement. C’est pas toujours une balade sur un nuage, mais ça vaut le coup.
le crownfunding
Donc, au début, tout fringant, je me dis « Let’s go crowdfunding, la meilleure idée du monde, tout le monde va kiffer ! Je m’inscris alors sur plusieurs site de crownfunding mais bon ben, spoiler alert : c’est pas vraiment comme dans les films. Malgré ma super présentation, la thune n’a pas coulé à flot comme prévu. Plutôt le contraire.
Mais bon, c’est pas la fin du monde, c’est le début de l’aventure, faut le prendre comme ça.
Concours O parleur
Un jour on me parle d’un concours organisé par la ville mettant en avant les projets des jeunes.
Party Driver commençait déjà à prendre forme, j’avais créer un logo, des mockups, un business model … Donc je me lance.
Le jour J je présente l’appli pour la première fois à un publique et honnêtement je me sentais comme steve jobs présentant le dernier Iphone et j’étais très satisfait de ma prestation.
La ville à décider de m’accompagner sur le lancement du projet et ils m’ont été d’une super aide.
Mais bon pour le coup, toujours pas de sous…
(image libre de droit pas ouf)
La Revanche de l'Auto-financement
La je rentre dans le concret, je fais un cahier des charges de l’appli et un appel d’offre.
Un bonne centaines de devis plus ou moins frauduleux mais je finis par trouvé mon compagnon de route et j’emprunte à la famille et des amis.
L’auto-financement, ça te donne le contrôle total, t’es le boss, tu gères ta thune comme tu veux. Pas de pression des backers déçus, juste toi, ta startup, et le grind quotidien.
Ça veut pas dire que c’était facile. Des économies serrées, d’autant plus que j’étais étudiant mais à chaque petit succès, t’as ce sentiment de « Je l’ai fait ! ». C’est le prix à payer pour être le héros de ta propre histoire.